LaFrance divisée contre elle-même . Fiche; 0 note . Adrien Abauzit. Date de parution : 04/08/2017; Editeur : Altitude Editions ; EAN : 9791097438005
Le 1er site d’information sur l’actualité. Retrouvez ici une archive du 16 octobre 2001 sur le sujet « L'impression que la France risquait toujours d'être divisée contre elle
UneFrance extrêmement inventive mais empêchée. Une France face à ses nombreuses contradictions parce qu'elle est aujourd'hui en guerre contre elle-même. Richard Werly, qui vient d’être nommé Chevalier des Arts et des Lettres, a décidé d’en faire le récit dans «La France contre elle-même», livre disponible aux éditions Grasset
LaFrance divisée contre elle-même : France n’est pas seulement en déclin : el
Lafrance divisée contre elle-même aux éditions Altitude editions. La France n'est pas seulement en déclin : elle est aussi en pleine décomposition. Si sa puissance diminue, son essence s'altère à une vitesse plus grande encore
Unnouvel essai politique sur la décomposition de la France : phagocytage par l'AntiFrance. En débutant à l'an de grâce 496 lorsque Clovis donne une destinée nouvelle au "regnum Francorumet en terminant aujourd'hui avec le règne d'une hyperclasse, née de la vassalisation des élites des grandes puissances mondiales à l'oligarchie anglo-américaine.
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De passage en France au moment des annonces d’Emmanuel Macron, j’ai pu recueillir les impressions de mes compatriotes. La colère monte, mais lorsqu’elle ne reste pas silencieuse, elle se meut maladroitement, jusqu’à épouser sa réputation de mauvaise conseillère. Les oppositions à la politique actuelle existent, mais sont-elles adaptées? Et surtout, n’est-ce pas un peu tard pour se réveiller?© f_philippotL’année dernière, je faisais le regrettable constat de l’apathie quasi totale des Français face à la gestion incohérente et liberticide de la crise Covid. La comparaison avec la Suisse, habituellement docile et résignée, était percutante. Aujourd’hui, qu’est-ce qui a changé? Les annonces d’Emmanuel Macron sur le pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour certains corps de métiers ont fait l’effet d’une goutte d’eau dans le vase de l’acceptation. Le président a réveillé, à son corps défendant, l’esprit contestataire qui végétait chez certains Français. Désormais, ils sont plusieurs centaines de milliers à battre régulièrement le pavé d’un bout à l’autre de l’Hexagone, pour dénoncer ce qu’ils sont de plus en plus nombreux à considérer comme une dictature sanitaire. On commence à distinguer à nouveau l’anticonformisme et la défiance constitutifs de ce pays qui s’est illustré, tout au long de l’histoire, pour sa propension à se révolter contre le pouvoir établi et ses injustices. Les Français ont finalement décidé de rejoindre la lutte contre les mesures sanitaires. Les Champs-Elysées se teintent à nouveau de jaune tous les samedis, sur le rythme de la hargne et du ras-le-bol qui montent. Désormais, il semble clair pour les opposants que le combat, tout comme la crise qui l’a provoqué, n’a plus rien de sanitaire. Il s’agit d’une bataille de raison. D’honneur même. Car il est difficile pour eux de supporter les mensonges à répétition d’un gouvernement qui, par exemple, assurait ne jamais franchir le pas de la vaccination obligatoire, tout en préparant le terrain dans l’ombre. Un pareil tour de force ne s’inventant pas du jour au lendemain. Difficile aussi de voir se réaliser les prophéties de ceux qu’on aimait à taxer de complotistes et à qui Macron et consorts sont en train de donner raison. Car, il est vrai, le chef de l’Etat est allé loin. Trop loin. Même Samia Hurst, vice-présidente de la task force suisse, a parlé de dérive», de disproportion» et de conflit de valeurs» pour qualifier les décisions du président. Celles-ci créent des discriminations, imposent des dilemmes cartésiens à certains fonctionnaires, au risque de les voir quitter le navire, mais surtout, elles achèvent de diviser une population déjà passablement déchirée. Les décisions de Macron, en passe d’être entérinées à l’Assemblée nationale, agacent d’autant plus qu’elles donnent aux Français le sentiment qu’on les prend pour des cons. Il eût mieux valu rendre la vaccination obligatoire pour tous, puisqu’on n’est plus à un pied de nez aux valeurs de la République – comme à celles de la médecine – près, plutôt que de donner l’illusion du choix à un peuple que l’on a progressivement conditionné dans une seule et unique direction. Bons et mauvais citoyens Lors de mon passage en France, début juillet, j’ai pu constater une fracture entre les bons élèves», ceux qui ont la satisfaction d’avoir suivi les consignes et d’en être récompensés, et la déroute totale des autres, qui ne sont pas d’accord avec ce qui se passe, mais ne savent plus comment faire pour y échapper. L’année dernière, le sujet du Covid avait été soigneusement écarté lors des fêtes de Noël familiales, tant il était source potentielle de conflits. Mais ce coup-ci, en confrontant mes proches, j’ai senti qu’on avait passé un cap. Que, cette fois, tout cela allait trop loin et que même les plus modérés avaient atteint leur limite. Nous n’allons quand même pas changer de pays. Nous ne savons pas quoi faire», m’a confié une de mes tantes, totalement désemparée. Cependant, toute la France n'est pas dans la rue et les opposants restent une minorité, puisque la propagande gouvernementale et médiatique a fait son travail avec brio. Parce que la façon la plus efficace de forcer les gens à obéir est de créer les conditions pour qu’ils le fassent volontairement. Parce que le cerveau humain est ainsi fait qu’il ne peut pas envisager une vérité qu’il ne serait pas en mesure d’assimiler ou qui remettrait trop profondément en question ses certitudes. Quand il est bien plus facile de se dire que notre gouvernement agit dans notre intérêt, sans biais, et qu’il nous faut lui faire confiance. Parce que la plupart des gens n’ont pas les ressources nécessaires à remettre les ordres en question, ni même à s’interroger. Je préfère continuer à faire ce qu’on me dit sans y penser, sinon je finirais par me rendre malade face à tant d’incohérence», me partageait récemment un compatriote. Parce que, aussi, les fers de lance de l’opposition sont soit des infréquentables autoproclamés, soit dépassés par la mission dont ils se sont investis. Et si l'on veut défendre les valeurs de Rousseau, on doit parfois accepter de s'associer avec ceux qui, en temps normal, nous rebutent. En France, comme en Suisse, l'opposition semble recouvrir une couleur politique bien résistance qui part dans tous les sens Pour exemple, l’émission organisée par la web télé La Une TV, le 24 juillet, promettait de réunir les figures de proue de la révolte. Au menu des spécialistes reconnus dans leur domaine, tels que Christian Perronne, Alexandra Henrion-Caude ou encore Jean-Dominique Michel. Mais également des blogeurs, des influenceurs et des personnalités controversées tels que Chloé Frammery et François de Siebenthal. Un mélange des genres qui perd le public, noie le poisson et, in fine, dessert la cause. Parce que non, les citoyens qui s’interrogent et remettent en question la stratégie gouvernementale ne sont pas tous des complotistes. Non, ceux qui hésitent à se faire inoculer un vaccin contre une maladie qui fait 0,05% de létalité ne sont pas tous des antivax. Ceux qui descendent dans la rue pour lutter contre l’oppression et exiger que l’on cesse de bafouer leurs droits et leurs libertés ne se sont pas tous mis à faire de sombres comparaisons avec Hitler et la Shoah. Les nombreux experts et médecins qui tentent de souligner les incohérences scientifiques auxquelles on nous soumet jour après jour ne sont pas tous des illuminés. Peut-être serait-il temps de cesser de traiter ces gens avec mépris, de les culpabiliser, de leur imposer une vision des choses qui n’est pas la leur et de leur faire confiance pour prendre soin d’eux-mêmes? Peut-être serait-il temps que les médias cessent leur matraquage quotidien et unilatéral, relayant uniquement les études qui vont dans leur sens, ignorant les autres, tout en faisant passer les vaccinosceptiques pour des abrutis, à coup de raccourcis? Il y a un monde en dehors du vaccin Quelques jours après les annonces tonitruantes d’Emmanuel Macron, l’Institut Pasteur a discrètement reconnu l’efficacité de l’Ivermectine contre le Covid, après des tests sur des hamsters. Interrogé par le Pr François Lemoine, immunologiste à l’AP-HP Assisstance Publique - Hôpitaux de Paris explique Pour proposer un traitement à des humains, il faut faire des essais cliniques avec des humains, en utilisant des comparatifs». Ces essais cliniques auront-ils lieu? Proposera-t-on des solutions moins risquées pour se sortir de cette situation, ou continuera-t-on sur la voie de la division et de la régression en termes d’acquis sociaux péniblement arrachés au fil des millénaires? Vu les récentes déclarations d’Olivier Véran, selon qui la prochaine vague sera de la faute des jeunes qui refusent de se faire injecter le vaccin d’un virus dont ils ne souffrent pas, l’apaisement est encore loin. Emmanuel Macron et ses ministres semblent l’avoir bien intégré, il faut diviser pour mieux régner». Il revient désormais au peuple de prendre, ou non, son destin en main.
DansLe Mystère français,vous expliquez que les mutations de ces trente dernières années continuent de reposer sur des fondements anthropologiqueset religieux anciens qui opposent deux France. Comment cela s’exprime-t-il concrètement ?Emmanuel Todd C’est la cartographie qui, à notre grande surprise, a fait apparaître cela. Si l’on prend tous les paramètres qui caractérisent les mutations sociales de ces dernières années et notamment l’élévation du niveau éducatif, qui est pour nous l’incarnation de la modernité et le moteur du développement humain, on voit apparaître deux facteurs favorisants un certain type de structures familiales complexes qui existaient au Moyen Âge et la tradition catholique. Dans ces régions qui correspondent à toute une constellation de provinces périphériques – le Grand Ouest, les Pyrénées-Atlantiques, la bordure sud-est du Massif central, la région Rhône-Alpes et l’Alsace-Lorraine –, tous les paramètres de la modernité ont explosé. Et l’on voit se dessiner deux France celle, périphérique, souvent de tradition catholique, qui représente un tiers de la Nation, et celle, centrale, qui va d’un vaste bassin parisien allant de Laon à Bordeaux jusqu’à la façade méditerranéenne, déchristianisée dès la opposition entredeux France entraîne selon vousde nouvelles inégalités culturelles comme économiques… Si l’on accepte l’idée raisonnable qu’une économie, c’est une population au travail, avec ses compétences intellectuelles et ses habitudes sociales, il est évident que dans un contexte très dur de compétition internationale, d’écrasement des salaires et de lutte pour la survie, les régions qui ont été le plus performantes sur le plan éducatif vont aller mieux, ou en tout cas moins mal que les autres. Tous les paramètres économiques, qu’il s’agisse du taux de chômage ou des inégalités, viennent confirmer ce expliquez-vousque les régions de tradition catholique s’en sortent mieux ? Il y a deux types d’explication. D’abord une tradition de coopération, qu’elle soit intrafamiliale ou interpersonnelle sur le plan territorial. Celle-ci renvoie à des types de sociétés où l’individu est plus fortement intégré et soutenu. Évidemment, dans une période de compétition, ces sociétés à forte intégration ont un avantage. On retrouve d’ailleurs ces mêmes caractéristiques dans des pays comme l’Allemagne ou le Japon. À l’inverse, les sociétés du cœur déchristianisé du pays ont un tempérament individualiste au départ. À l’heure de la crise, elles sont particulièrement secouées car elles ne possèdent pas les anticorps nécessaires pour il ne faut pas le cacher le dynamisme de ces régions sur le plan de l’éducation et des mœurs vient aussi pour partie de la fin même du catholicisme, par effet de libération ». À partir de la Contre-Réforme, le catholicisme s’était défini dans l’anti-modernité, avec une méfiance très nette à l’égard de la culture. Ce qui s’est passé dans ces régions dans la période la plus récente correspond sans doute à ce qui s’est passé à la fin du XVIIIe siècle dans les régions qui avaient lâché le catholicisme en premier, notamment le bassin ce que vous appelezle catholicisme zombie » ? C’est une façon amusante de parler d’une croyance disparue mais dont les habitudes sociales restent vivantes. Dire que les régions qui sont restées catholiques plus longtemps vont mieux, ce n’est pas faire l’apologie de quoi que ce soit, mais une simple analyse sociologique d’un phénomène qui sera vraisemblablement temporaire. C’est bien la disparition du catholicisme qui explique cette surdynamisation, mais c’est une disparition qui laisse une déséquilibre entre ces deux France est-il inquiétant ? Une nation où un tiers du territoire arrive à s’en sortir au détriment des deux autres tiers n’est pas une bonne chose. La France n’est pas seulement un pays varié sur le plan anthropologique, c’est un pays divisé contre lui-même. Son cœur, c’est la croyance en la liberté et l’égalité et sa périphérie, c’est plutôt la croyance en l’autorité et la hiérarchie. Cette opposition a produit des affrontements tout au long de l’Histoire mais jusque-là, c’était le cœur qui était toujours dominant. Aujourd’hui, nous sommes dans un modèle où c’est la périphérie qui est aux commandes. Il y a là pour moi quelque chose d’un peu illogique et de détraqué dont la manifestation la plus évidente est sans doute le chassé-croisé entre la droite et la gauche au sein de ces deux cela s’est-il traduit politiquement ? Auparavant, la gauche était puissante dans son cœur libéral et égalitaire qui fit la Révolution française, et la droite l’était dans ses bastions catholiques. Or, la dernière élection présidentielle de 2012 qui a vu la victoire de François Hollande montre au contraire que les bastions du PS se trouvent désormais dans les régions fidèles à l’idéal de hiérarchie qui avaient refusé la Révolution française, alors que toutes les droites – du sarkozysme au lepénisme – réalisent leurs meilleurs scores dans les régions qui croient en l’égalité. Il y a donc bien là quelque chose d’illogique. C’est un peu comme un piano désaccordé.
Aller au contenu Aller au menu Aller à la recherche Vive l'Europe - Adrien Abauzit et son livre, La France divisée contre elle-même Publié le mercredi 09 août 2017 - Vidéo - Lien permanent Vive l'Europe Adrien Abauzit et son livre La France divisée contre elle-même Aout 2017 Vive la France, Vive l'Europe !!! Auteur Déjuificator3 Restez au courant de l'actualité et abonnez-vous au Flux RSS de cette catégorie 1543 lectures Viva Europa À voir également Adolf Hitler - La prophetie d'Hitler PAGANS TV - Soral témoignage d'un ancien Mots-clésMetal Youtre France Europe Ex-Libris Aldo Sterone Sang et sol Oleg Démocratie Participative Adolf Hitler Allemagne Terre Plate Camarade Jean USA Vic Survivaliste Boris Le Lay Islam Viva Europa Radio Melon Florent Lambert Ukraine Arnaud Lespingal Révisionnisme Henry de Lesquen Russie William Pierce Piero San Giorgio Saint Claude 88 Vincent Reynouard Tous les mots-clés
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