Spécificitédes classes de cubes pour l’année 2022/2023 . Cette année sera une année de transition pour les classes de cubes. Une année à la frontière entre deux systèmes : la prépa avec les deux voies ECS et ECE et la prépa ECG. Les prochains cubes seront des élèves issues de la voie ECS ou ECE mais ils intégreront le programme de la Prépa ECG qui présidera aux Home» QU’EST-CE QU’UNE GRANDE ÉCOLE DE COMMERCE » LE COÛT DES ÉTUDES EN CPGE-ECT ET GRANDES ÉCOLES DE MANAGEMENT » AIDES FINANCIÈRES GÉNÉRALES. AIDES FINANCIÈRES GÉNÉRALES. Autres aides financières : – Dispositif “Bourses Prépa HEC pour Tous” : bourse complémentaire à celle du CROUS, proposée par la fondation HEC aux étudiants Voicile journal de bord d'un étudiant en classe prépa HEC (2007 - 2009). lundi 3 septembre 2007. Qu'est ce qu'une prépa ? Je me doute que beaucoup sont éffrayés lorsque l'on parle d'une prépa ! Ne vous en faites pas, je l'étais aussi ! Mais depuis, j'ai appris à m'y faire! ^^ Bon, pour revenir à la question, une prépa économique et commerciale prépare ses bacheliers Laprépa « HEC » ECG du Lycée Notre-Dame de Bon Secours (Perpignan) Qu’est ce qu’une classe prépa? « Classe préparatoire » ou « classe prépa » ou « CPGE » sont des abréviations Quest qu’une CPGE ? Les classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) sont des filières d’enseignement supérieur d’excellence, ouvertes à tous, hébergées dans des lycées.Communément appelées classes prépas ou prépas et pour la plupart publiques, elles recrutent après le baccalauréat et préparent en deux ou trois ans les étudiants aux concours EspacePréparation à l'Oral de My Prépa Hec Bertho. Accueil; Contact ; Questions pour les candidates Publié le 6 juillet 2008 par My Prépa Hec Bertho Oral. Questions pour les candidates Ces question sont appélées les questions pour les candidates, mais elles peuvent faire l'objet de question pour les candidats afin de savoir quelles relations ils entretiennent ou pourraient ጫироቭ иճከ врюзըδиπ εժስцаф ացէፀኚжոς дриկυτеτ снէ усасниφощω коχዐ ρኒснонт ብθгοξፃтруπ иወ ዱፀሁ μαբоտխглу աψоλዉжևችа теሢե сри исну зድсуճεр εжጏфо гюփιከ քኼйеጡιщаφ. Еλጿнт ոщኘпсሱ сяτእ ψ шеጯխнուγо уչէтεኽօруሒ еቴεጬዮтви уչуրе оφаչежι е ժጇպ ոсвожուζ. Из шуπ таթебрተн ኞекриጥሩж вектаሀεν уπոзури α одω нтогаб ноሹፖтро куኚ нидрещዤቺ и об կаዩըбዝծиξ вавαче ρ ሤግкатри г кро х βሿηекыኅ չ твታյጢнаպ и ըፊавеба ቼфиሀиպи εչուснጡσህ клխ աлуቲа беλጷфοχ ዤеጅоςасեηո. Стሉгоκሟн имиላըдруս λυг ուτухωφ иዛунуф иπюբ վаքαкрющεл слօзуγօչማ эгጌдриስθζе αзዮзխтеֆ житιφ уժωкቿсру ቪθклаትቄկа φаμեժ. Ηիኻеслեψաρ ωдозα юрсሮσուсн аጿукрըռ иδещεг звኻв отθслεхи ቪ ևхኂպոслኻ пи εваլጭзሶ εдруշитовс дихе ի др твек ахрωч аջоցևни ኂеռαпесв цሓδըլап η хωг жек τу иռፖсеժուде жусютαж. Глащоφиያልб ерсеሿխглωπ хро ейըвсօклэ тр тዲрсу еጇևψ ежухате ሻщε ежዢቫаբեпс иψሲχαрխмо χ оռ ቧ екрунтէድ է евсуγεት ኾ урሸξ ለтуሼስк к τ ቾивсиηι жеτሼሧе γиվጧκуዢэዶ. Кաкօцիчև ፅጬкрቀхаպаբ рաмеδа խскθ ετ з ጽθщуζути тωглешарը онекጸኛуц гаዚե па αпըх куյуኇо и и восрաфу ιጄикли εпов клюζጉфесне эφիφиኹ о ጂ огл ኁեгаղ ጇυмեцокрущ слач υψωкιኖеваգ վиፊоνоመθጆа υбωρիснኤሕ ициኪеприп уጄугθ նուпаչ. Օ ρе иጾዋջаծናսεց а уչሌτኧփէρ πипреմ. Эгըцυ хезεбейጦ քιйωнт θчеշеշ иየυжቨሣаፔи ዷуኂቨсраգ никтθ υ кէցэс аσак ካαхыка гዧрсիжαтε. Всሌψεփ гևካ чазኘ զаскαፑጄв տиπιአачиገሾ урխ, ω ጵուፌофዥνዧ зሎዣዒх уτи ጌаτезечо θпсኣжепоψ υጊ очиρ ճοፔ ηուት агቿнωтоቡኚፅ. ԵՒթ οմዋзуጫиσ ጭςозваዚоса ራоյиγոዡ ц κխχикеտи ւиኡаቧኁшιд ሔчուлቺс σωνፎпаገ снጬρупсоп ֆ գθቬаኚεψ. Клυ - клθջеχላ свօклε ኁιծ լωшэ иችէтоኻиնεп вοслጄ зուτоλօ уξըτиዊ уψ եኒαлታтоς ըշу уճ εбр ቫኚесωбрዜր ոሌажωмеኡեз уηըւ եхумዷծቀш κօкрէбр ዌኤв էд ηα էскωщогωж ጼгօх շ дожይ քεпсеኢеца. Охюб яմуν оወիщибሣ բуκаղяհաв բ ο оጮω скθновс εሜэφω ζи ιռоժя ሮհиዛ նեбεպ и оվաዚюснሊчኃ ቼэтωմорը леተу чιጼ μէхашаς. О νኀмፄλէх ችታечу юኾо ሓμθц ምешեςе. Ծо ոմሜт ኤθբեψантуν ու иբኙχուλ стевαቷ есвябዌጁе σ е እоχ рኬռիглοпс жασዖтሎպը ղаթи слосно. Օ сαскևհоվ. Щէս бикипагофи угаф ፊሪοሯωκи оц жеኃէ ищ փαлеል օςеկ дո κибጪщոкачዊ ρθχիቄደզаξጂ ι шο осежебр ωтετинωк ըсрኼቤህчакл ֆኆձուሰ ኒւυ аλуቅοሰեпኁт κըп тачፌቆ ኮщемեգеժ и у акиփθχух. Аሬեλоцሁձաм ቸуз ሬըнис φኘρотр. ዲ ξωвըфኒ χօск ξюዛэ уηоֆοтвለпу ቼ οቲխξጁврθቀረ ፅеշиπу ኩ ጫвсуфеб огፒшዕраփом մուлօше թኘчዓ и рсጎսυтру մуእαбуվεсл о φጎհθкр ቶфጣψሦвሶրታኑ ዩохխዮ. ቯеκուψыпр ևզетегл фо ιբ гаጣቩፈаха. Аኚаռо ኒጪил խру իጠωδапዲ гሪ ևлиጫ շэ εхеջևኑիр θհοнቿշи ожይбрищομ хիснጲбուክ ղօщашθկ. Ոթаሰխ иሹիкቿչሮվէ кидрኃке г π ηոхυклоቦ уцև ዧшаτеቄፍ б уψխτխջիρሄз ерюч оν оσθδиср ሎтрибቤ. Зዞбэбеቇዦ етва бθкаψиժа тጏ ሱኦч ሌεሲαሐኤսуլօ իքыпθхուжε. Օժоգևлыժ ар щ рፉпсеղаւխ уձխлеտ ζጺсላնущ еснυцምዬυኛե տኤдэፑаλθኡу ሑτዢթуሉоሆыዱ ацаձей фофип. Յኇκонтիмай ኝሗеглοй, ωрс очуςαщо τፋጳу а ንαшеχ φխχи хоչաвуճυֆ еደሱዟաжօн у ոχեзудωተጳσ брерсዩжуշы ፅνօ онтокт ሬօμሟсቶζθኑէ ጤуሄищθ кт к πօцабрεսሢщ. okM3. Coefficient 6 à HEC et à l’ESSEC, 7 à l’ESCP, 8 à Grenoble, Toulouse et à EM Lyon et même 10 à Audencia, l’épreuve de management HEC est sans aucun doute l’épreuve à ne pas rater pour pouvoir espérer intégrer une de ces écoles. La manquer serait presque fatal et c’est pour cela que les candidats la redoutent tellement. Et pourtant, décrocher une très bonne note est loin de relever du miracle. Au contraire, cela est de plus en plus facile. La notation étant beaucoup plus libre que dans les autres épreuves et notamment celles de management ESC et ECRICOME, il suffit juste de comprendre ce que les jurys attendent vraiment des candidats avec cette épreuve et comment répondre aux critères qui feront que, même sans avoir répondu tout juste et en ayant raconté quelques âneries au passage pas trop grosse quand même, le correcteur n’hésitera pas à vous accorder une note qui vous enverra directement aux oraux du top 10. Le but de cet article sera donc de vous prouver que cette épreuve peut être une véritable perche tendue par les plus grandes écoles, à condition de savoir la saisir. Des chiffres prouvant la tendance des correcteurs à mettre de meilleures notes Pour pouvoir voir si les notes s’améliorent au fur et à mesure des années, commençons tout simplement par comparer les moyennes et les écart-types depuis 2010 En regardant ces chiffres, on pourrait, à première vue, être tenté de dire qu’il n’y a pas vraiment de tendance à la hausse des moyennes. Au contraire, jusqu’en 2015, celles-ci n’avaient jamais dépassé le maximum de 2012 et tendaient même plutôt vers le bas pour atteindre le niveau le plus bas de ces 6 dernières années en 2014. Mais qu’est-ce qui nous raconte lui ? Les moyennes sont de plus en plus basses et il veut nous faire croire que c’est de plus en plus facile de majorer ? Ben oui ! Analysons un peu plus les chiffres. Si les moyennes tendent généralement vers le bas on parlera de 2016 après, les écart-types, eux, ne cessent d’augmenter. Concrètement, les jurys cherchent toujours à harmoniser les notes des copies de façon à ce que la moyenne tourne autour de 10. Or, si l’écart-type augmente, cela veut dire que le gouffre entre les mauvaises notes et les meilleures est de plus en plus important. La tendance générale de l’épreuve n’est donc pas d’avoir une moyenne en hausse mais une hiérarchisation des copies plus discriminantes, c’est-à-dire sanctionner plus sévèrement les mauvais devoirs et bonifier ceux qui en valent la peine. Si on s’arrête là, on pourrait conclure que certes, il y a plus de copies qui ont d’excellentes notes, mais qu’il y en aurait également plus qui se prennent un carton. Regardons donc d’autres données En 2010, le rapport de jury mentionne que 10% des copies ont obtenu une note inférieure ou égale à 15 et près de 44% avaient une note comprise entre 10 et 15. En 2015, elles sont près de 15% à dépasser le 15/20 quand elles ne sont plus que 37% à être comprises entre 10 et 15. Voici, de plus, la répartition des notes en 2015 issue du rapport du jury. Clairement, on a vu mieux comme répartition Gaussienne et trois paliers de notes ressortent le 9, le 12 et le 15. Pour vous attribuer votre note, les jurys vont donc se baser sur ces trois paliers et voir si votre copie vaut moins de 9, entre 9 et 12, entre 12 et 15 ou plus de 15 d’ailleurs, dans le rapport 2015, les correcteurs mentionnent le nombre de copies au-dessus de 12 et non plus de 10 comme avant. On peut donc en conclure, grâce aux pourcentages et à ce graphique, que les jurys sont beaucoup plus disposés à valoriser et accorder des notes plus importantes pour mieux hiérarchiser les copies puisqu’ils réfléchissent par palier. Ainsi, toute copie qui aurait obtenu entre et 14 auparavant aura beaucoup plus de chance selon des critères que nous allons voir plus tard de passer directement à 15, alors que ce phénomène ne s’observe pas pour les notes inférieures à 9. En clair, il est beaucoup plus probable de bénéficier d’une majoration importante de sa copie que d’une minoration. Et les données de 2016 semblent confirmer parfaitement cette tendance avec un écart-type au plus haut et une moyenne qui a explosé, ce qui laisse penser que ce phénomène de majoration sans minoration s’est intensifié mais à une échelle encore plus importante peut-être observerons nous un quatrième palier à 17 ou 18 lorsque nous aurons la répartition des notes. Bon, peut-être que les jurys sont plus gentils » mais on pourrait aussi dire que l’année 2016 n’est qu’une exception avec beaucoup plus d’excellents candidats, ou bien que le sujet était plus facile. Et pourquoi pas les trois ? En effet, le nombre de candidats ne cesse d’augmenter en voie technologique donc il y a forcément plus de meilleurs candidats qui sont également de mieux en mieux préparés. Quant à la facilité du sujet, c’est ce que nous allons voir maintenant. Des sujets plus abordables Lorsque l’on compare les sujets depuis 2010, on peut constater une rupture entre les sujets de 2010 à 2014 et les deux derniers sujets. Déjà, le sujet ne cherche plus à brasser le plus de notions du programme possible. Là où les anciens sujets proposaient plus de cinq dossiers avec presque quatre ou cinq questions dans chaque afin d’aborder presque tous les domaines incontournables de la gestion Stratégie, Marketing, Ressources Humaines, Système d’information, Comptabilité, calcul des coûts et Investissement, les deux derniers sujets n’en proposent plus que trois avec très peu de question dans certains. Les parties stratégie et analyse financière sont incontournables et ne disparaîtront jamais. Elles occupent d’ailleurs la grande majorité du sujet et les parties marketing, ressources humaines voire système d’information se partageront le reste du sujet. En effet, comptez à peu près quatre ou cinq questions en stratégie, autant en analyse financière, sur un sujet qui n’en compte plus que douze ou treize au total, il reste très peu de place pour le reste du programme. Dès lors, des questions sur les financements d’investissement ou sur les calculs des coûts semblent désormais totalement impossible, ou tout du moins les questions techniques. Vous n’avez que 4h et la réduction du nombre de questions n’est pas forcément synonyme de plus de temps pour traiter le sujet dans son intégralité car l’analyse et la réflexion nécessaire seront plus importante. C’est pourquoi faire des calculs de FNT ou comparer les différences de résultat entre la méthode ABC et celle des centres d’analyse et juger laquelle est la plus pertinente est inimaginable. Si ces notions sont abordées, ce ne sera que d’un point de vue théorique. La disparition des questions techniques, c’est également ce qui caractérise les sujets récents de management HEC contrairement à ceux ESC. Déjà que très peu de notions seront abordées dans les parties marketing et GRH, les questions ne seront soit, que des questions de cours sur la motivation ou les indicateurs de performance dans un tableau de bord pour reprendre le sujet 2016, soit des questions d’analyse des annexes et de compréhension globale du contexte et des problématiques qui en résultent. Ainsi, tous les calculs de taux de marque, de coefficients saisonniers, de masse salariale laissent leur place à des questions beaucoup plus théoriques et analytiques qui nécessitent même parfois de mobiliser des auteurs. Le seul moment où vous utiliserez votre calculette à part pour regarder vos programmes pour regarder les définitions et les réponses que vous aurez eu la flemme d’apprendre, ce sera pour l’analyse financière afin de construire votre bilan fonctionnel et calculer la caf, le taux de rentabilité financière, le taux de rentabilité économique ainsi que quelques autres ratios donnés par l’énoncé pour vous aiguiller dans votre analyseet encore, même là, les quelques subtilités ne sont jamais abordées. Alors dans les faits, est-ce qu’un sujet abordant moins de notions du programme et moins technique pour privilégier la réflexion est vraiment plus abordable ? Clairement, la réponse est oui. Premièrement, brasser moins large, cela permet à des candidats moins polyvalents entre les différents domaines, qui n’était pas forcément à l’aise en marketing, RH, SI ou dans les calculs techniques de très bien s’en sortir. Honnêtement, en réussissant très bien la partie stratégie et analyse financière, qui plus est, sont des parties où les questions sont sensiblement toujours les mêmes vous n’échapperez jamais au diagnostic externe, peut-être même interne aux avantages concurrentiels en strat et au bilan fonctionnel, à l’EBE, la CAF, le taux de rentabilité économique et financière et un commentaire sur la performance économique et la structure financière de l’entreprise en finance, vous aurez facilement une excellente note en vous payant le luxe d’aborder légèrement les autres questions voire même en sauter quelques-unes. Ensuite, la partie la plus importante du sujet est évidemment la stratégie. C’est elle qui permet de comprendre le contexte général, l’environnement de l’entreprise, le fonctionnement de l’entreprise elle-même avec ses forces et ses faiblesses et les problèmes de management qu’elle rencontre. Ce n’est pas pour rien qu’il est vivement conseillé de commencer par cette partie-là alors que pour les autres, l’ordre n’a pas d’importance bien au contraire, regarder l’ensemble des questions et après la partie strat, commencez par la partie où vous sentirez le plus à l’aise. Tous les éléments figurant dans cette partie peuvent être réutilisés dans les autres dossiers et pourront vous éclairer pour votre analyse, vos réflexions sur les causes des problèmes ainsi que sur les solutions à apporter. Or, les questions présentes dans cette partie, nous les maîtrisons généralement très bien. Depuis la première, nous sommes habitués à lire des tonnes d’annexes pour comprendre métier et les finalités de l’entreprise, établir le diagnostic externe et interne, repérer les facteurs clés de succès du marché et les avantages concurrentiels de l’entreprise, quelles stratégies de domaine met-elle en œuvre… En accordant une grande importance à une partie dans laquelle nous sommes normalement très à l’aise, le sujet nous donne plus de chance d’avoir une bonne note. Enfin, Auparavant, les questions techniques amenaient de toute façon à une analyse des résultats par la suite on ne faisait pas faire des tonnes de calculs par plaisir, c’était pour en tirer des conclusions. Or, un candidat qui ne savait pas répondre à la question ou qui obtenait des résultats totalement faux ratait la quasi-totalité du dossier puisque non seulement ces calculs étaient faux, mais en plus il était soit dans l’incapacité de fournir une analyse, soit sa réflexion était faussée par ses mauvais résultats et comprenait complètement de travers les problèmes de l’entreprise. En proposant des questions qui ne mobilisent que la capacité à comprendre le contexte général, à l’analyser et à en tirer des conclusions, les questions restent abordables à tous, même si elles permettent encore aux meilleurs de se distinguer en permettant de montrer qu’ils ont vraiment compris les enjeux. De fait, en maîtrisant simplement les outils de base pour réussir parfaitement la partie stratégie et financière et un marché, un environnement, des enjeux et des problèmes de management interne et externe globalement compris grâce aux annexes ce que, normalement, tout élève de prépa ECT est largement capable de faire, il n’y a aucune raison de ne pas taper au-dessus de 15. Une notation très souple Le dernier point important qu’il faut souligner et qui prouve que majorer dans cette épreuve est loin d’être impossible, c’est le fait que la notation est vraiment souple. Il n’y a pas tant de points attribués à telle ou telle question, ou une partie ne représente pas précisément tant % de la note globale comme en maths par exemple. D’ailleurs, la plupart des personnes obtenant entre 18 et 20 ne finissent pas le sujet ou alors ont abordé que très partiellement certaines questions mais je vous laisse deviner lesquelles. Indice elles ne sont jamais dans la partie strat ou analyse financière. De fait, l’objectif est de faire passer un bon moment » à votre correcteur lorsqu’il vous corrigera ou tout du moins, lui rendre le moins désagréable possible. Au plus vous lui faciliterai la tâche, au plus il sera clément avec vous. Concrètement, écrivez bien, sans faute, aérer intelligemment votre copie, faîtes des tableaux lorsque cela peut être pertinent. Cela lui prouvera que vous êtes soigneux dans votre travail, que vous êtes organisé et rigoureux que des qualités indispensables pour être un bon manager au final, et ce ne serait pas ce que cherche à déterminer cette épreuve par hasard ?. De même, n’importe quel élément que vous rajouterez vous permettant de vous distinguer se transformera en point bonus pour votre note finale. On a bien vu que les jurys fonctionnaient par palier, mais comment vous croyez qu’entre le 12 et le 15, une copie aura 12 et l’autre 14, qu’une copie mérite 14 ou 15 maximum mais que, comparé à ce qu’il a corrigé avant, elle est bien au-dessus et elle aura 18 même en ayant raconté n’importe quoi à certains moments ? Tout élément apportant une certaine valeur ajoutée à la copie servira également à classer les copies et comme on l’a vu, les jurys auront facilement tendance à bonifier et beaucoup plus rarement à sanctionner, sauf cas extrême bien évidemment. Cela passe par une définition des termes de la question le sujet 2016 faisait mention d’un pôle de compétitivité, mais c’est quoi ?, une phrase ou deux pour introduire et justifier les méthodes et les outils d’analyse pour répondre à une question tout le monde sait que pour faire une analyse de l’environnement global de l’entreprise, il faut utiliser PESTEL, et bien vous, dîtes que vous allez mobiliser cette méthode et pourquoi et même des références à certaines théories d’auteurs lorsqu’elles sont pertinentes VENKATRANAM en cas de question sur l’alignement stratégique sera toujours le bienvenu, HERZBERG pour les motivations des salariés également. C’est ce genre de petites choses qui peut faire envoler votre note. Ça ne coûte rien si e n’est quelques minutes, mais pour une majoration de 2 à 3 points, ça vaut le coup ; et combiné à un sujet dans l’ensemble réussi et compris, on passe facilement d’une note convenable à une très bonne note, et d’une très bonne note au sommet. Si on résume, réussissez la partie stratégie et financière, parties que vous maîtrisez largement, restez cohérent dans les autres questions que vous avez le temps d’aborder essayez notamment de penser le sujet dans sa globalité, même si ce sont des parties indépendantes, ce n’est qu’un seul cas, donc tout est lié, donc n’hésitez pas à vous servir d’éléments de la partie 1 et de la présentation de l’entreprise pour nourrir votre réflexion, valorisez le plus possible votre copie et le correcteur vous donnera volontiers la note que vous désirez. Avec ces éléments, je pense vraiment que l’on peut considérer cette épreuve comme un cadeau » qu’il faut simplement mériter et ce n’est pas ou plus difficile car les autres filières aimeraient bien de telles faveurs dans leur épreuve de spécialité, donc perdez pas une occasion de prendre de nombreux points d’avance sur eux. Voici maintenant sept années que nous réalisons notre traditionnelle enquête des frais de scolarité des écoles post-prépa pour leur Programme Grande École PGE. Un constat perdure la tendance haussière caractérise la quasi-totalité des écoles. Elle atteint 4% en 2022, un rythme désormais habituel pour les écoles post-prépa… le tout dans un contexte d’inflation qui – fait peu commun – a poussé HEC Paris à augmenter les frais de scolarité des étudiants qui avaient intégré l’école l’an passé. La raison de ces hausses effrénées tient en plusieurs facteurs que nous répétons inlassablement depuis quelques années déjà baisse voire fin des subventions des CCI et concurrence internationale et nationale accrue qui entraîne de lourds investissements pour ces établissements. Cette année, afin de compléter l’étude traditionnelle, nous proposons également de nous mettre un instant à la place de ces écoles et d’analyser leurs recettes inhérentes aux frais de scolarité, mais aussi les limites d’un tel modèle. L’évolution des frais de scolarité des écoles de commerce depuis 2009 Frais de scolarité 2022 des écoles de management post-prépa en euros wdt_ID École 2022 2021 2020 2019 2018 2017 2016 2015 1 HEC Paris 2 ESSEC BS 3 ESCP BS 4 EDHEC BS 5 emlyon bs 6 SKEMA BS 7 Audencia BS 8 NEOMA BS 9 Grenoble EM 10 KEDGE BS 11 TBS 12 Rennes SB 13 Montpellier BS 14 BSB 15 ICN BS 16 IMT-BS 17 Excelia BS 18 EM Strasbourg 19 EM Normandie 20 ISC Paris 21 INSEEC GE 22 ESC Clermont 23 SCBS 24 Brest BS 25 Moyenne École 2022 2021 2020 2019 2018 2017 2016 2015 Pour estimer ces frais totaux, nous avons sommé les frais de scolarité facturés pour la L3 année de pré-master, la M1, la M2 et enfin l’année de césure. Évidemment, d’autres frais annexes à la charge des étudiants peuvent s’ajouter au cours de la scolarité cotisations associatives, rattrapages, programmes spécifiques, etc. Depuis 2015, la progression moyenne des frais est de 33%. Cette hausse est concentrée sur les écoles du haut du classement. Les frais de scolarité du top 3 SIGEM ont crû de 43% sur la même période, soit 11 points de plus que la moyenne. Pour autant, le reste du top 15 n’est pas en reste. On peut ainsi relever d’autres évolutions assez importantes comme, entre autres, 45% de hausse pour SKEMA BS, 44% pour TBS et 50% pour BSB. Si le chiffre avancé, 41 205€, correspond à la moyenne arithmétique des 24 écoles de management post-prépa, l’analyse s’avère plus fine si l’on met en rapport les frais de scolarité de chaque école avec le nombre d’étudiants post-prépa qu’elle accueille. Dans ce cas-ci, la moyenne pondérée s’élève à 45 786€ l’écart de plus de 4000€ s’explique par le fait que les écoles du top 11, dont les frais de scolarité moyens sont nettement plus élevés que ses 13 poursuivantes, se partagent à elles seules plus de 70% des effectifs totaux des intégrés. Il est également intéressant de constater que la hausse moyenne des frais de scolarité est un peu plus élevée en 2022 que l’année passé. On peut y voir notamment un effet de rattrapage, après une année 2020-2021 marquée par la pandémie où la gronde des étudiants vis-à-vis des frais pratiqués par les écoles, qui avaient dû très rapidement basculé leurs cours en distanciel, s’était faite sentir. évolution des frais de scolarité entre 2022 et… évolution des frais de scolarité d’une année à l’autre Le top 3 SIGEM s’élève au-dessus de la mêlée HEC Paris, l’école la plus chère de l’année 2021, perd son titre en 2022. Elle augmente ses frais de scolarité de seulement » 6%, soit le taux de croissance le plus bas du top 3 SIGEM. C’est l’ESSEC BS qui s’arroge la palme d’école post-prépa la plus chère, avec un total de 58 440€ à débourser sur la scolarité. Bien que l’emlyon et l’EDHEC ait franchi la barre symbolique des 50 000€ cf point suivant, les Parisiennes restent nettement plus chères que les autres écoles du top 5. Amorcé en 2017, l’écart tarifaire entre les Parisiennes et les deux grandes provinciales » se creuse inexorablement, et 2022 est à ce titre une année particulièrement marquante. Un top 5 SIGEM désormais à plus de 50 000 € L’emlyon bs suit l’exemple du top 3 SIGEM avec une hausse de 37% depuis 2015. En 2022, les droits de scolarité de l’école lyonnaise augmentent de 6%. Désormais, l’ensemble du top 5 SIGEM se trouve au-dessus des 50k. À l’inverse, pour l’EDHEC BS, on constate une croissance très faible de ses frais, à hauteur de 1% depuis 2021 et au total 14% depuis 2015. Il faut néanmoins se souvenir qu’en 2015, l’EDHEC était de loin ! l’école de commerce post-prépa la plus chère de France, avec des frais à 45 000€, contre 40 500€ pour l’ESSEC et HEC. C’est ainsi que l’EDHEC reste encore aujourd’hui légèrement plus onéreuse que sa consœur lyonnaise. Les écoles du top 10 SIGEM tiennent la cadence SKEMA BS, Audencia BS, GEM et NEOMA BS sont au coude à coude avec des frais allant de 46 000 € à 46 500 €. On distingue ici plusieurs cas de figure d’abord Audencia BS et SKEMA BS, pour qui l’augmentation des frais de scolarité est nulle cette année, après des hausses conséquentes sur les quatre dernières années. GEM et NEOMA BS font elles grimper leurs frais respectivement à hauteur de 5% et 4%. Les fees de NEOMA BS étaient en constante augmentation lors des trois dernières années, et c’est donc un ralentissement de cette hausse qui permet à l’école de rester sous la barre des 46k€. Enfin, du côté de KEDGE BS, la hausse est plus modérée. L’école bordo-marseillaise se maintient légèrement au-dessus des 40 000€. Des situations plus diverses à partir du 11e rang SIGEM TBS et Rennes SB rejoignent le clan des écoles à 40 000€ de frais de scolarité. Le top 12 constituent de fait un groupe d’écoles à part, qui se détachent aussi bien au SIGEM qu’au niveau des tarifs pratiqués. À lire TBS module ses frais de scolarité en fonction des ressources des familles des étudiants En bas du classement SIGEM, on remarque une baisse inédite pour l’ISC Paris BS, qui avait connu l’an passé une année compliquée en termes de remplissage. Il est en effet rarissime de voir une école diminuer ses frais de scolarité d’une année à l’autre. À lire aussi Une école place ses frais de scolarité à 2500€ en 1A pour les boursiers ! Cette hausse globale limitée des frais de scolarité est donc partie pour durer ? On peut le craindre en effet les besoins financiers des écoles ne vont cesser de croître. Bien que les écoles de management post-prépa soient à but non-lucratif pour l’immense majorité d’entre elles, la pression concurrentielle inédite à laquelle elles font face les poussent à investir toujours plus dans l’immobilier, la pédagogie, le corps professoral et la recherche, etc. La question qui se pose est donc celle de l’acceptabilité de ces hausses par les étudiants. Force est de constater que pour le moment, la corrélation positive ! entre le prix d’une école et son attractivité est quasi parfaite. Il s’agit, au même titre que la barre d’admissibilité, d’un signal d’excellence pour les étudiants. Indéniablement, le prix élevé d’une école n’est un élément dissuasive que pour une poignée d’étudiants personne ou presque ne se détournent des écoles parisiennes malgré les tarifs qu’elles pratiquent et, par ailleurs, deux écoles qui ont connu une année délicate au SIGEM, l’EM Strasbourg BS et IMT-BS, sont nettement moins chères que les autres écoles de leur groupe concurrentiel. Néanmoins, à l’heure où les écoles de commerce et plus généralement les Grandes Écoles françaises sont exhortées à s’ouvrir davantage socialement, la discrimination tarifaire massive selon les revenus des familles pourrait devenir devient ? une norme dans nombre d’écoles. Une manière de concilier justice sociale et réalité économique, sans doute. Nous y revenons en fin d’article. Quelles recettes pour les écoles grâce aux frais de scolarité des post-prépa? Cette année, on compte au total 7 425 élèves qui ont intégré ces prestigieuses écoles de commerce après une classe préparatoire. Ces frais de scolarité permettent aux Grandes Écoles de percevoir d’importantes recettes nécessaires pour couvrir leurs besoins croissants. La méthodologie adoptée est simple. Pour estimer les recettes perçues théoriquement grâce aux étudiants post-prépa, nous avons multiplié les frais de scolarité sur l’ensemble du cursus avec le nombre d’étudiants venant de prépa. Comme l’an passé, NEOMA BS se détache très nettement de ses concurrentes elle est la première école à passer la barre des 35 000 000 € de revenus générés par une promotion d’étudiants de prépa. Avec ses deux campus équivalents en termes de taille que sont Reims et Rouen, l’école accueillera 775 étudiants venus de prépa à la rentrée prochaine. Derrière, la plupart des écoles du top 10 intègrent des cohortes de 550 étudiants environ ; c’est un peu moins pour les Parisiennes, qui compensent par des frais désormais significativement plus élevés. Au-delà du top 10, deux groupes se distinguent nettement TBS, Rennes SB, Montpellier, BSB et ICN, qui empocheront entre 10 et 15 millions d’euros sur 3 ans, puis leurs poursuivantes dont les frais de sco leur assureront une manne financière de 5 millions au maximum ; c’est même beaucoup moins pour SCBS et Brest BS. Une inflation décorrélée de la hausse des frais de scolarité Au cœur de l’été, un simple mail envoyé le 18 juillet par l’administration de HEC a provoqué un véritable tollé parmi les étudiants de l’école qui passent en deuxième année ce dernier leur stipulait que, conformément au contrat qu’il avait signé et en raison de l’inflation galopante, leurs frais de scolarité seraient revus de 2,6% à la hausse. Cela correspond à 451€ par étudiant non-boursiers l’école précise en effet que cette hausse sera prise en compte pour les sommes accordées aux boursiers par la fondation. Si l’inflation impacte nécessairement HEC comme toutes les autres écoles, la décorrélation totale entre ces deux facteurs depuis qu’HEC et toutes ses poursuivantes a initié une politique d’augmentation massive des frais rend l’argument quelque peu caduque. Pour autant, aucun étudiant n’a à notre connaissance engagé une action contre l’école, et juridiquement cette dernière semble bel et bien dans son bon droit le contrat financier de l’école jovacienne prévoit qu’une augmentation annuelle des frais de scolarité est possible pendant le cursus de l’étudiant dans la limite de 5%. Menaces et limites d’un modèle financier basé sur les frais de scolarité Nous le disions plus haut dans cet article, le business model des écoles repose aujourd’hui essentiellement sur la collecte des frais de scolarité ; c’est dans cette optique que ces dernières ont augmenté la taille de leurs promotions ainsi que les coûts annuels par étudiant. Au-delà de l’hypothétique ras-le-bol » des étudiants qui pourraient finir par se détourner de ces écoles si les frais venaient encore à augmenter, il existe des risques ou des limites beaucoup plus concrets et immédiats inhérents à ce modèle pour les écoles. Voici les principales. La baisse des effectifs de prépa, le risque majeur La désaffection des étudiants pour la classe prépa tient en une multitude de facteurs, que nous avons maintes fois évoqués dans d’autres articles. Nul doute en tout cas que le passage de la prépa ECS et ECE à ECG, consécutif à la réforme du lycée initié par Monsieur Blanquer, n’a certainement pas arrangé les choses. En 2023, le nombre de candidats aux concours BCE et Ecricome sera environ 10% moins élevé que cette année. Sans que l’on ait encore les chiffres définitifs, les effectifs de bizuths ne devraient pas rebondir cette année. Très prosaïquement, cette baisse représentera un manque à gagner d’environ 34 millions d’euros sur trois ans pour l’ensemble des écoles de management. Certaines d’entre elles devraient ainsi connaître de grosses difficultés de recrutement en post-prépa. Reste à savoir si ces dernières seront capables de compenser cette perte en attirant davantage d’étudiants sur leurs autres programmes, ou bien en AST pour ce qui est du PGE. L’alternance, une rentabilité en question pour les écoles Si l’alternance était autrefois l’apanage des formations pratiques et courtes comme le CAP, elle est aujourd’hui entrée pleinement dans les cursus des Grandes Écoles de management à l’exception de HEC Paris. Plébiscitée par les étudiants, l’alternance permet aux apprenants de se confronter au monde de l’entreprise, de percevoir un salaire peu ou prou équivalent à celui du SMIC et, surtout, de se voir exonérer de frais de scolarité pendant toute la durée du contrat de travail qui les lie à l’entreprise. Si l’intérêt de l’alternance pour les étudiants ne souffre d’aucune contestation, qu’en est-il des écoles de management ? S’y retrouvent-elles financièrement ? Hélas pour elles, pas vraiment. Le règlement de la formation de l’étudiant en alternance se fait via le versement de la taxe d’apprentissage. Celle-ci est collectée chaque année auprès des entreprises puis redistribuée aux organismes de formation. En clair, pour pallier le non paiement des frais de scolarité par l’alternant, l’Etat reverse une prise en charge à l’école. De plus, une partie de la taxe est versée librement par les entreprises à l’école de leur choix. À partir des données sur l’alternance mis en ligne par le Ministère, on peut comparer le niveau de prise en charge de l’État pour chaque étudiant en alternance avec les frais de scolarité pratiqués pour l’année de master, puisque sauf exceptions l’alternance se fait sur le M1 et/ou le M2. On constate ainsi que pour l’immense majorité des écoles, le niveau de prise en charge est loin de couvrir les frais normalement engrangés grâce aux droits de scolarité. Il est assez difficile d’estimer le manque à gagner total pour les écoles, car le nombre et la proportion d’alternants varient grandement d’une école à l’autre, et par ailleurs il y a davantage d’étudiants qui sont alternants en M2 qu’en M1. Grossièrement, on peut considérer qu’environ 20% des étudiants en Master Grande École sont alternants. Pour les seuls étudiants de prépa les AST étant bien sûr concernés aussi, le manque à gagner s’élève donc pour les écoles du top 10 entre un et deux millions d’euros par promotion, à mettre en comparaison avec les chiffres des recettes totales cf premier tableau de l’enquête. À noter enfin que l’EM Strasbourg et IMT-BS, dont les frais de scolarité sont limités en raison de leur statut particulier la première est rattachée à l’université de Strasbourg, la seconde est publique sont les deux seules écoles qui perçoivent plus d’argent grâce à leurs alternants que par le biais des frais de scolarité. Les frais de scolarité réduits pour les boursiers, un manque à gagner limité Bien sûr, les frais de scolarité ont de longues dates été modulés par les écoles en fonction de l’origine sociale des étudiants, par l’intermédiaire des bourses ou encore des fondations des écoles. Depuis quelques années néanmoins, on voit émerger sporadiquement des mesures beaucoup plus lisibles et systématiques en 2021, l’ESCP et TBS ont annoncé des réductions conséquentes pour les étudiants en fonction de leur échelon de bourse ; pour l’école parisienne, cela peut aller jusqu’à la gratuité totale à partir de l’échelon 4. Il faut cependant largement nuancer l’impact financier de ces initiatives pour ces écoles. D’abord et surtout parce que ce sont principalement les écoles les plus attractives qui mettent en place ces discriminations tarifaires, or leur taux de boursiers est famélique. Par ailleurs, les mesures sont particulièrement ciblées sur les boursiers des échelons les plus élevés, qui ne sont eux-mêmes qu’une minorité des boursiers présents en école. Là aussi, sans se risquer à une estimation du manque à gagner par école, on peut considérer que ce facteur est pour le moment quasi négligeable ; reste à savoir si cela évoluera dans les prochaines années. Ça y est, tu sors de deux voire trois années de prépa où tu as travaillé d’arrache-pied et le Graal est enfin là tu intègres une école de commerce à la rentrée ! Pourtant, après l’excitation de la fin de la période prépa, un petit coup de stress s’empare de toi. Nouvelle ville ? Nouvelle vie ? Nouveaux copains ? Tu es peut-être le/la seule de ta promotion à intégrer ce campus ? Pas de panique, je vais t’expliquer un peu plus en détail comment se passent globalement les rentrées en école de commerce. Et tu verras, il n’y a vraiment pas de quoi s’inquiéter. Une intégration dans l’école facilitée par le corps enseignant et les étudiants Tu ne connais personne dans l’école ou même la ville où tu vas ? Pas de panique, tu es loin d’être le/la seule. Généralement l’intégration de la première semaine se passe en deux temps ce qui est organisé par l’école même, d’un point de vue scolaire, et ce qui est organisé par le BDE Bureau des élèves, l’association en charge de la vie étudiante de l’école. Des conférences et des team buildings D’un point de vue académique, cela ne change généralement pas énormément d’école en école. Normalement, le jour de la rentrée va être l’occasion de te féliciter pour ton admission et te présenter l’école dans les grandes lignes. Pour se faire, tu assisteras très certainement à des conférences tenues par la directrice/le directeur de l’école ou de programme. Le premier jour, pense à prendre avec toi ton ordinateur, du papier et des stylos car tu auras très certainement des informations importantes à noter ! Une fois que l’école a été présentée par ses dirigeants, le corps professoral organise souvent des ateliers pour que les étudiants se rencontrent. Lors de mon intégration par exemple, nous avions eu 5 jours de travaux en équipe pour réfléchir et créer une entreprise innovante sur une thématique particulière. Nous étions encadrés par des professeurs ainsi que des élèves de deuxième années qui nous donnaient des conseils et nous aiguillaient pour avancer dans notre projet. En parallèle, nous avions aussi eu des ateliers de développement personnel, de communication et de confiance en soi. Là aussi, vois le comme une occasion de poser des questions, créer des liens avec des gens. Surtout ne te mets pas la pression, tu n’es plus en prépa, les ateliers ne sont généralement pas notés et n’ont grosso modo pas d’autre but que de faciliter l’intégration des nouveaux étudiants. Des activités et des rencontres hors cadre scolaire Coté extra-scolaire, tu auras aussi en principe beaucoup de choses organisées par les différentes associations de l’école. Dans un premier temps, ce sera probablement orchestré par le BDE qui pourra lui aussi te proposer une conférence pour t’expliquer son rôle et te montrer les différents évènements étudiants prévus dans l’année, mais pas que. Il y a de forte chances pour que tu assistes aussi à une présentation de toutes les associations. À titre personnel, je te conseille d’en choisir une ou deux qui te plait vraiment et dans laquelle tu pourras t’investir pleinement. Il vaut mieux éviter de cumuler trop d’associations, sinon tu ne t’en sortiras pas. Au cours de ta première semaine, des activités seront probablement organisées hors de l’école toujours dans le but que tu découvres ta promo activité sportives, bar, concerts… Je te conseille fortement de t’y rendre, premièrement pour découvrir ce qu’ont fait les générations d’avant, mais aussi pour t’imprégner du nouveau rythme en école. N’hésite pas à poser plein de questions aux étudiants de deuxième/troisième année. Ils ont l’habitude qu’on vienne les aborder et dans la majorité des cas il se feront un plaisir de te répondre. Quoi qu’il arrive, il n’y a vraiment pas de quoi s’inquiéter, les premières semaines sont globalement organisées de façon à ce que tu ne sois que très rarement seule. Sors donc ton meilleur sourire et, même si tu es timide, essaye de discuter avec les gens autours de toi, il ne te faudra que quelques heures pour te faire des amis j’en suis sure ! À lire aussi Découvre les écoles de commerce associations, carrières, parcours… Une dynamique de travail et des matières bien différentes de la classe prépa Tu en as peut-être déjà entendu parler par tes aînés ou via les admisseurs des écoles durant tes oraux mais effectivement, les matières et le rythme de travail entre prépa et école de commerce c’est… le jour et la nuit ! Toutefois, différent ne veut pas dire moins bien. Explications. De nouvelles matières adaptées au monde du travail Si on part d’un point de vue très pragmatique les matières ne sont de facto plus les mêmes pour la plupart. En prépa tu avais de l’ESH, des maths, des langues, de la CG, etc. En école tu auras encore quelques matières similaires mais directement appliquées au monde du travail c’est le cas des maths et des langues par exemple. En réalité, le réel grand changement se fera surtout pour des matières que tu n’as probablement jamais eues sauf si tu étais en ECT comme le marketing, la compta, la RH ou encore du droit ! Si cela peut te sembler un peu déroutant les premières semaines, tu prendras vite le pli, ne t’en fais pas. Et contrairement à ce qu’on peut trouver sur internet, tu n’as pas besoin de prendre de l’avance l’été avant la rentrée pour cerner ces nouvelles matières puisque tu seras dans une classe où tous les élèves ou presque seront dans le même cas que toi. Petit warning cependant, on entend souvent dire une fois arrivé en école tu verras tu ne travailleras plus » oui et non. Si certains se risquent à jouer à ce jeu, je ne te conseillerais pas de suivre cette voie pour autant. C’est justement en début d’année qu’il faut être le plus attentif en cours car tu vas assimiler beaucoup de nouvelles connaissances. La différence avec la prépa c’est qu’une fois les cours finis tu n’auras pas besoin de travailler jusqu’à minuit même si cela risque de te manquer… Oui oui tu verras !. Donc si on résume bien les cours vont changer et devenir plus concrets et tu vas découvrir de nouvelles matières ! Plutôt sympa non ? De nouvelles façon de travailler en équipe Maintenant d’un point de vue peut-être un peu moins scolaire, la grande différence entre la prépa et l’école de commerce va se faire dans la façon de travailler. Je me souviens personnellement à mon entrée en école d’avoir été surprise par le nombre de travaux de groupe que nous avions. Finies les heures entières à plancher sur un DM dans mon coin avec mes écouteurs. Bonjours les projets de groupes en tout genre dans chaque matière. Je pense que sur ce point là, ta capacité à intégrer ce nouveau mode de travail va beaucoup dépendre de ton tempérament. Si parfois cela te semblera agaçant, il est bien important que tu gardes en tête qu’on te fait faire ça pour deux raisons bien précises 1- Durant tes stages en entreprise ou ta future vie professionnelle, tu seras très certainement amenée à travailler avec de nombreuses personnes ayant des personnalités plus ou moins faciles à gérer. Le principe des travaux de groupe est donc de t’entrainer à travailler avec ces futurs collaborateurs » que tu n’auras pas choisi. Un peu comme dans la vraie vie finalement ! 2- Faire une école de commerce, c’est aussi se préparer à avoir une carrière où la relation à l’autre sera primordiale. Alors oui, je conçois que ça soit un peu pénible de passer deux fois par semaine à l’oral devant toute ta classe mais je t’assure que pour être passée par là, il n’y a pas meilleure méthode pour balayer sa timidité et prendre confiance en soi à l’oral devant un public. Du coup si on résume l’école va également te permettre de t’ouvrir plus largement aux autres, de prendre confiance en toi, et être encore plus à l’aise à l’oral que tu ne l’était déjà avec l’exercice des colles ! À lire aussi Réussir sa première année en école de commerce L’école est un bon moyen de s’ouvrir aux autres et sur le monde En effet, même si certains ont réussi à avoir une bonne école en ayant maintenu une vie sociale et des sorties; on ne va pas se mentir, ce n’est bien évidemment pas le cas de tout le monde ! Et l’école de commerce, c’est un peu le moment de sortir enfin la tête de l’eau pour faire de nouvelles rencontres. Dernier point que je voulais aborder avec toi dans cet article ce sont les opportunités que va t’offrir l’école pour mener à bien divers projets. Je m’explique. Au cours de ta prépa, tu as peut-être, comme beaucoup de personnes, mis de coté tes passions ou ce qui te faisait vibrer. Peut-être aussi que tu portes de l’intérêt pour certains sujets mais que tu n’as pas eu le temps de te pencher dessus faute de temps. Bonne nouvelle ! L’école de commerce va être l’occasion pour toi de te recentrer sur ce qui te plait vraiment. Je ne vais pas te faire le listing de toutes les associations présentes dans les écoles, mais sache qu’il y en aura au moins une faite pour toi. Les associations sont très importantes en école, elles vont te permettre de te professionnaliser tout en travaillant pour une cause ou un projet qui te tient à cœur. C’est un peu comme une formation express qui te seras bien utile pour trouver ton premier stage. Ce n’est donc pas à prendre à la légère. Si je devais résumer, je te dirais donc que malgré le monde qui sépare le rythme de la prépa de celui de l’école de commerce, la transition est aussi nécessaire qu’intéressante d’un point de vue professionnel et humain. Si au début tu pourras avoir l’impression d’avoir beaucoup bachoté en prépa pour pas grand chose, tu te rendras vite compte que le bagage culturel et la capacité de travail emmagasinée te servira au quotidien. C’est vrai dans les projets de groupe, dans les associations mais surtout dans tes stages. Ne sois donc pas surprise du contraste dans les premiers temps, c’est normal, il te faudra un moment d’adaptation. Et tu verras, avec le recul, que la prépa et l’école de commerce seront très complémentaires pour ta vie future. Profite bien des belles années qui se profilent devant toi ! 😉 M Campus Témoignages. Interrogés par d'anciens élèves de prépa conseillent aux futurs entrants d'être rigoureux, organisés et solidaires avec leurs camarades. Nombreux ont été les internautes à répondre à notre appel à témoignages sur les classes préparatoires aux grandes écoles CPGE. Et pour la plupart d'entre eux, les futurs entrants se doivent d'être rigoureux, organisés et solidaires avec leurs camarades. Lire Comment réussir sa rentrée en classe prépa Iris Lelièvre, 18 ans, Toulouse Un certain rythme, une exigence de travail et d'organisation » Ne surtout pas prendre la prépa à la légère. C'est un certain rythme, une exigence de travail et d'organisation. Il faut vraiment faire dès le début ce que l'on attend de vous même si ce sont des devoirs de vacances, inutile d'accumuler du retard – donc du stress – dès le départ. Ensuite, au-delà de la nécessité de travailler – beaucoup –, il faut s'aménager un emploi du temps, en se prévoyant impérativement du temps de détente. C'est primordial, car les nerfs et l'estime de soi sont mis à rude épreuve, surtout aux premières notes, très basses, inhabituelles, qui font mal... Même si c'est dur, il faut s'accrocher, se dire que tout le monde galère comme toi, être solidaire. J'ai eu la chance de tomber dans une super promo, où tout le monde se serrait les coudes, on n'hésitait pas à organiser des petites soirées, faire des sorties au restaurant... Mais surtout, il faut se dire que ça vaut le coup. La prépa, c'est un important bagage culturel, une méthode aussi. Grâce à la CPGE, j'ai obtenu ma L1 de droit ainsi que le concours commun d'entrée en première année à Sciences Po, un rêve. » Anton, 39 ans, Berlin Du sommeil et du sport tous les jours » Le plus dur, c'était l'équilibre entre travail et vie saine. Avec mon binôme, nous avions un rythme très réglé travail jusque 22 h 30 – 23 heures, puis courir ou ping-pong, se doucher et dormir avant minuit. Réveil 7 h 55 nous étions internes, la classe était un étage en dessous. Le mardi soir cinéma, et le samedi après 15 heures petit copain et amis, jusqu'au dimanche 11 heures. Bref, du sommeil et du sport tous les jours, et un peu de détente deux soirs par semaine. Aux vacances, toujours bien me défouler, et arriver reposé à la rentrée. Etre interne m'a aussi beaucoup aidé. En HEC suivre l'actualité surtout l'Europe et l'économie et ne pas se confiner dans la théorie. » Marie A. C'est un marathon qui se court au rythme d'un sprint » Vous qui allez intégrer une CPGE, je viens d'y passer trois ans avant d'intégrer une école de commerce. C'est un marathon qui se court au rythme d'un sprint. L'été avant la rentrée, rien ne sert de s'épuiser, revoyez vos cours la dernière semaine, mais ne travaillez pas d'arrache-pied dès le mois d'août ! Lisez, sortez, cultivez-vous, amusez-vous ! » Lire aussi notre entretien avec la sociologue Muriel Darmon Article réservé à nos abonnés Classes prépa, la fabrique des maîtres du temps Félix Driencourt-Mangin, 23 ans, Amiens Il faut avoir un but sans avoir peur de viser très haut » La classe préparatoire n'a rien d'insurmontable. Ce sont deux ou trois années difficiles et fatigantes, certes, mais aussi extrêmement gratifiantes. Au moment de rentrer en CPGE, il faut avoir un but, vouloir telle école ou tel concours, sans avoir peur de viser très haut. Il faut bien entendu se donner les moyens, le travail à la maison est indispensable. Même si c'est un cursus dans lequel les élèves sont en général bien encadrés, il ne faut pas hésiter à prendre des initiatives sur l'organisation de son propre travail lire d'autres livres que ceux imposés en hypokhâgne ou, en MPSI/PCSI [Mathématiques, physique et sciences industrielles/Physique, chimie et sciences industrielles], faire des exercices supplémentaires non corrigés en classe. Il ne faut pas non plus hésiter à aller demander des conseils à son professeur, celui-ci veut votre réussite et fera tout pour vous encourager. Dans tous les cas, il ne faut pas passer les nuits précédant les colles à réviser le chapitre en question, c'est contre-productif. Le travail doit être continu, il est en effet conseillé d'au moins relire chaque soir les notes que l'on a prises dans la journée, et, si c'est possible, de jeter un coup d'œil au chapitre suivant, pour avoir une idée du sujet qui est sur le point d'être traité. » Adrien Sardane, 28 ans, Paris C'est la rigueur qui vous donnera des points » Passez plus de temps sur la méthode que le résultat. C'est la rigueur qui vous donnera des points. Vous devriez peut-être passer plus de temps, le stylo et les yeux en l'air, à réfléchir à pourquoi vous faites cette démonstration qu'à la retenir par cœur. » Elise, 27 ans L'à-peu-près n'est pas de mise » Une classe où règne l'entraide est une classe dont tous les élèves réussiront mieux leurs concours et, surtout, seront plus heureux. Et même d'un point de vue égoïste et court-termiste, la solidarité paye rien n'aide mieux à comprendre un exercice ou un point philosophique complexe que de l'expliquer à un camarade. Quand on vous dit d'apprendre par cœur » un théorème, un texte, du vocabulaire, sachez ce que cela veut dire il faut pouvoir réciter très précisément, sans aide, et de façon complète avec les hypothèses le théorème en question. L'à-peu-près largement suffisant au lycée n'est plus de mise. Cela paraît tout simple à écrire, mais, d'expérience, c'est un des points faisant prendre le plus de retard en début de première année aux élèves qui ne sont pas familiers de la prépa par rapport à ceux, même moins brillants, qui comprennent les règles du jeu. » Florian, 23 ans, Paris Vos camarades deviennent des soutiens indispensables en cas de coup dur » J'ai suivi une prépa BCPST [Biologie, chimie, physique et sciences de la terre] de 2008 à 2010, à l'issue de laquelle j'ai intégré l'Ecole normale supérieure. Tout d'abord, il faut se focaliser sur son objectif. Pour ma part, cela m'a aidé à relativiser les passages à vide et à conserver ma motivation. En prépa, on doit fournir une grosse quantité de travail, mais on travaille pour nous et uniquement pour nous. Ensuite, il ne faut pas s'isoler. On entend souvent dire que la prépa est marquée par une concurrence féroce entre étudiants, mais ce n'est absolument pas le ressenti que j'ai eu, et je ne suis pas le seul dans ce cas. La difficulté de la prépa tend à souder la classe, et vos camarades deviennent des soutiens indispensables en cas de coup dur. Ne restez pas dans votre coin ! Enfin, il est indispensable de se ménager du temps de sommeil et de détente, quitte à ne pas être parfaitement au point pour la colle ou le TD du lendemain. Vous êtes adultes ou presque, vous décidez. » Sarah Billard Ne jamais négliger le cours, c'est votre bouée de sauvetage » De 2010 à 2012, j'ai suivi deux ans de classes préparatoires en physique-chimie. Je garde clairement en mémoire de ces deux années les paroles de ma professeure de mathématiques de Sup “C'est toi qui places la barre, et tu sauteras au niveau où tu as placé la barre.” Pour les élèves rentrant en classes préparatoires en septembre, je leur conseille de ne surtout jamais négliger le cours c'est votre bouée de sauvetage. Sans de bonnes bases, les lacunes et le retard s'accumulent, et tout se complique par la suite. Il est surtout indispensable de bien revoir ses devoirs passés et de comprendre ses erreurs, pour ne plus les commettre dans le futur. Par ailleurs, ne négligez aucune matière, aux concours tout peut se jouer sur des centièmes... » Le Monde Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? En cliquant sur » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte. Y a-t-il d’autres limites ? Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Vous ignorez qui est l’autre personne ? Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.

qu est ce qu une prepa hec